" Plus jamais ça ", avait déclaré les représentants de Research in Motion, fabricant canadien des terminaux BlackBerry et des services de messagerie du même nom lors de la panne d'avril 2007 qui avait interrompu toute activité pendant une bonne demi-journée aux Etats-Unis.
Une mise à jour mal digérée des serveurs centraux avait causé la panique tandis qu'une défaillance d'un serveur la semaine dernière a de nouveau montré l'état de dépendance des utilisateurs de BlackBerry vis à vis de leur machine.
Perturbations mineures mais répétées
La perturbation des services intervenue hier pendant quelques heures est sans commune mesure avec les incidents précédents et résulterait d'une maintenance qui a pris plus de temps que prévu. Seuls les utilisateurs du BlackBerry Internet Services ont été touchés, tandis que ceux utilisant le BlackBerry Enterprise Server pouvaient vaquer normalement à leurs occupations.
Le problème était cette fois mineur et est resté localisé aux Etats-Unis, mais a fait l'objet d'une surveillance étroite d'un certain nombre d'utilisateurs. Ces coupures perturbent les adeptes de ce type de messagerie qui ont du mal à accepter l'idée de se retrouver isolés du reste du monde. C'est le phénomène CrackBerry.
Le gouvernement canadien lui-même s'en est ému et a proposé d'instituer une " pause BlackBerry " aux fonctionnaires de son ministère de la citoyenneté et de l'immigration entre 19h et 7h le lendemain et en se forçant à éteindre l'appareil le week-end et les jours fériés.
Une mise à jour mal digérée des serveurs centraux avait causé la panique tandis qu'une défaillance d'un serveur la semaine dernière a de nouveau montré l'état de dépendance des utilisateurs de BlackBerry vis à vis de leur machine.
Perturbations mineures mais répétées
La perturbation des services intervenue hier pendant quelques heures est sans commune mesure avec les incidents précédents et résulterait d'une maintenance qui a pris plus de temps que prévu. Seuls les utilisateurs du BlackBerry Internet Services ont été touchés, tandis que ceux utilisant le BlackBerry Enterprise Server pouvaient vaquer normalement à leurs occupations.
Le problème était cette fois mineur et est resté localisé aux Etats-Unis, mais a fait l'objet d'une surveillance étroite d'un certain nombre d'utilisateurs. Ces coupures perturbent les adeptes de ce type de messagerie qui ont du mal à accepter l'idée de se retrouver isolés du reste du monde. C'est le phénomène CrackBerry.
Le gouvernement canadien lui-même s'en est ému et a proposé d'instituer une " pause BlackBerry " aux fonctionnaires de son ministère de la citoyenneté et de l'immigration entre 19h et 7h le lendemain et en se forçant à éteindre l'appareil le week-end et les jours fériés.