Même si les ventes de ses mobiles ont progressé par rapport au trimestre précédent ( 25,7 millions d'unités contre 24,9 millions au deuxième trimestre ), elles stagnent par rapport à l'an dernier ( 25,9 millions d'unités à la même période ).
De plus, le chiffre d'affaires de Sony Ericsson accuse un certain recul, à 2,8 milliards d'euros ( contre 3,1 milliards en 2007 ) et le prix moyen des terminaux tombe à 109 € alors qu'il était de 120 € un an auparavant, et s'explique par une guerre des prix sur le milieu et le haut de gamme.
Toutes ces contraintes font que la société enregistre une perte nette de 25 millions d'euros au troisième trimestre ( alors que la société engrangeait 267 millions d'euros l'an dernier ) et que sa part de marché reste inchangée, autour de 8%.
Peu de chances de reprise avant mi-2009
Dick Komiyama, président de Sony Ericsson, indique que les restructurations sont en cours mais qu'elles ne produiront leurs effets qu'à partir du deuxième semestre 2009. Un plan avait été annoncé il y a quelques mois qui doit permettre de réaliser 300 millions d'euros d'économies mais qui engendrera aussi 2.000 suppressions de postes.
" Nous souhaitons mettre en place notre plan de réalignement aussi rapidement que possible pour nous assurer que nous avons la taille adéquate et la structure organisationnelle suffisante pour revenir dans un cadre de forte rentabilité ", a ainsi souligné M. Komiyama.
Sony Ericsson a toutefois encore des atouts à jouer. La société a annoncé le lancement de son service de téléchargement de musique en accès illimité Playnow plus, qui prendra réellement son essor en 2009.
D'autre part, plusieurs modèles importants ont été annoncés lors du troisième trimestre, dont plusieurs modèles Walkman Phones, un premier modèle UMA, le G705u, et des terminaux compatibles Youtube : les W595, W902 et G705.
Sony Ericsson pourra compter au dernier trimestre sur le lancement du Sony Ericsson Xperia X1, son premier PDAPhone Windows Mobile. Sur l'ensemble de l'année 2008, la société estime que les ventes mondiales de téléphones portables vont connaître une progression de 10% environ, surtout grâce aux marchés émergents, et avec un prix moyen des terminaux continuant de s'affaiblir.
De plus, le chiffre d'affaires de Sony Ericsson accuse un certain recul, à 2,8 milliards d'euros ( contre 3,1 milliards en 2007 ) et le prix moyen des terminaux tombe à 109 € alors qu'il était de 120 € un an auparavant, et s'explique par une guerre des prix sur le milieu et le haut de gamme.
Toutes ces contraintes font que la société enregistre une perte nette de 25 millions d'euros au troisième trimestre ( alors que la société engrangeait 267 millions d'euros l'an dernier ) et que sa part de marché reste inchangée, autour de 8%.
Peu de chances de reprise avant mi-2009
Dick Komiyama, président de Sony Ericsson, indique que les restructurations sont en cours mais qu'elles ne produiront leurs effets qu'à partir du deuxième semestre 2009. Un plan avait été annoncé il y a quelques mois qui doit permettre de réaliser 300 millions d'euros d'économies mais qui engendrera aussi 2.000 suppressions de postes.
" Nous souhaitons mettre en place notre plan de réalignement aussi rapidement que possible pour nous assurer que nous avons la taille adéquate et la structure organisationnelle suffisante pour revenir dans un cadre de forte rentabilité ", a ainsi souligné M. Komiyama.
Sony Ericsson a toutefois encore des atouts à jouer. La société a annoncé le lancement de son service de téléchargement de musique en accès illimité Playnow plus, qui prendra réellement son essor en 2009.
D'autre part, plusieurs modèles importants ont été annoncés lors du troisième trimestre, dont plusieurs modèles Walkman Phones, un premier modèle UMA, le G705u, et des terminaux compatibles Youtube : les W595, W902 et G705.
Sony Ericsson pourra compter au dernier trimestre sur le lancement du Sony Ericsson Xperia X1, son premier PDAPhone Windows Mobile. Sur l'ensemble de l'année 2008, la société estime que les ventes mondiales de téléphones portables vont connaître une progression de 10% environ, surtout grâce aux marchés émergents, et avec un prix moyen des terminaux continuant de s'affaiblir.