Selon John Lilly, directeur des opérations au sein de la fondation relayé par PCWorld et InfoWorld, c'est une vision bipolaire, très années 80, que de proposer Safari sur la plate-forme Windows - voir notre actualité à ce sujet. Cette décision a par ailleurs soulevé quelques critiques, notamment de la part d'experts en sécurité informatique qui ont immédiatement commencé à exposer les failles logicielles présentes dans la version bêta.
Dans son blogue, Lilly a déclaré que la présentation de Safari réalisée par Steve Jobs, directeur exécutif d'Apple avait montré " une vision troublée du monde réel " voire carrément un désir mégalomane plutôt dérangeant d'éliminer toute concurrence dans le marché des navigateurs.
Firefox vers un futur insignifiant selon Apple ?
Il a en outre pointé du doigt les projets d'Apple d'augmenter la part de marché de Safari ( de 1 à 3 % ) qui est très substantielle par rapport à celle de Firefox ( 12 à 15 % suivant les cabinets statistiques ) afin d'arriver à un monde divisé entre deux navigateurs : Internet Explorer et Safari.
" Cette vision du monde que Steve a donné montre un aperçu de leurs arrières-pensées : celui-ci est démodé, contrôlé par les entreprises, orienté de manière bipolaire, et pas du tout dans l'esprit du Web. (...) Et ce n'est pas bon pour Internet. Ce qui est vraiment discutable, je pense, car je ne pense pas que cette dualité du monde ( des navigateurs ) arrivera réellement un jour ", écrit-il, tout en reconnaissant que l'arrivée d'un autre navigateur ne peut qu'être bénéfique pour la concurrence des navigateurs.
A l'inverse, avec la montée en puissance de sites et idées tels que Creative Commons, Wikipedia, Linux ou Firefox, le monde s'est détâché du contrôle unilatéral des grandes entreprises : " Aujourd'hui, le monde d'Internet n'est désormais plus contraint par les monopoles, dualités ou cartels de la distribution d'hier - les éditeurs, les studios et les vendeurs de systèmes d'exploitation. (...) Le fait qu'Apple ne ressente pas ceci illustre en grande partie ce problème ". Apple n'a pas encore commenté cette déclaration.
Dans son blogue, Lilly a déclaré que la présentation de Safari réalisée par Steve Jobs, directeur exécutif d'Apple avait montré " une vision troublée du monde réel " voire carrément un désir mégalomane plutôt dérangeant d'éliminer toute concurrence dans le marché des navigateurs.
Firefox vers un futur insignifiant selon Apple ?
Il a en outre pointé du doigt les projets d'Apple d'augmenter la part de marché de Safari ( de 1 à 3 % ) qui est très substantielle par rapport à celle de Firefox ( 12 à 15 % suivant les cabinets statistiques ) afin d'arriver à un monde divisé entre deux navigateurs : Internet Explorer et Safari.
" Cette vision du monde que Steve a donné montre un aperçu de leurs arrières-pensées : celui-ci est démodé, contrôlé par les entreprises, orienté de manière bipolaire, et pas du tout dans l'esprit du Web. (...) Et ce n'est pas bon pour Internet. Ce qui est vraiment discutable, je pense, car je ne pense pas que cette dualité du monde ( des navigateurs ) arrivera réellement un jour ", écrit-il, tout en reconnaissant que l'arrivée d'un autre navigateur ne peut qu'être bénéfique pour la concurrence des navigateurs.
A l'inverse, avec la montée en puissance de sites et idées tels que Creative Commons, Wikipedia, Linux ou Firefox, le monde s'est détâché du contrôle unilatéral des grandes entreprises : " Aujourd'hui, le monde d'Internet n'est désormais plus contraint par les monopoles, dualités ou cartels de la distribution d'hier - les éditeurs, les studios et les vendeurs de systèmes d'exploitation. (...) Le fait qu'Apple ne ressente pas ceci illustre en grande partie ce problème ". Apple n'a pas encore commenté cette déclaration.