" Le Français " pris en otage par " la décision"" de justice
5 réponses
.
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile
nous pouvons engager les brèves de comptoir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on nous
apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule
forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot
" Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour
définir un groupe d'individus en association
soit...! ca nous change de l'adjectif
Les conséquences
Les médias radio, tv citant ce parti on va entendre le bégaiement de
mauvaise grammaire " Le les républicains ", ce qui pourrait
s'interpréter dans l'oreille d'un érudit ignorant des pratiques
politiques actuelles et un peu déconnecté de l'actualité
' Le laid républicain "
et serait donc une injure publique !
sans compter tous les m'sieu dames porteurs de ce patronyme
et les républicains naturels ( ceux qui n'ont pas besoin de le formuler
pour s'en convaincre ) qui vont se sentir
moche par voie de conséquence
Commencent à nous gonfler
l'un sur les mots , l'autre sur le passé résistant
Vivement qu'ils dégagent le les deux cousins récupérateurs !
( le laideux cousin récupérateur )
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Fraude
Vente illégale
Discours haineux
Terrorisme
Autre
Albert ARIBAUD
Bonjour .,
Le Wed, 27 May 2015 09:01:36 +0200, "." <@+gmail.com> a écrit :
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile nous pouvons engager les brèves de comptoir.
J'en resterai pour ma part à une discussion de droit aussi rigoureuse que j'ariverai à la tenir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on no us apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot " Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour définir un groupe d'individus en association soit...! ca nous change de l'adjectif
Non, la Justice n'a autorisé aucune privatisation d'aucun mot.
En fait, non, la Justice n'a rien autorisé.
Ce que la Justice a fait, c'est seulement indiquer qu'elle ne se prononcerait pas en référé, du fait de l'absence de trouble manifestement illicite et de dommage imminent (et accessoirement que les demandes de certains plaignants n'étaient pas recevables, si j'ai bien suivi).
Les conséquences
... sont que la Justice ne s'est pas du tout prononcée sur le fond de la question, ce qui est assez normal en référé, et très logique ici puisque le tribunal a constaté l'absence des conditions qui auraient pu lui permettre d'aborder le fond des demandes.
Par ailleurs, il semble qu'au moins un des demandeurs recevables va interjeter appel. S'il le fait, cela ôtera à la décision actuelle toute force de chose jugée, de sorte que même si la Justice s'était prononcée, sa décision sera remise en cause et il faudra attendre la décision d'appel qui viendra la supplanter -- sans préjudice, donc, d'une décision de fond.
Amicalement, -- Albert.
Bonjour .,
Le Wed, 27 May 2015 09:01:36 +0200, "." <@+gmail.com> a écrit :
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile
nous pouvons engager les brèves de comptoir.
J'en resterai pour ma part à une discussion de droit aussi rigoureuse
que j'ariverai à la tenir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on no us
apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule
forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot
" Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour
définir un groupe d'individus en association
soit...! ca nous change de l'adjectif
Non, la Justice n'a autorisé aucune privatisation d'aucun mot.
En fait, non, la Justice n'a rien autorisé.
Ce que la Justice a fait, c'est seulement indiquer qu'elle ne se
prononcerait pas en référé, du fait de l'absence de trouble
manifestement illicite et de dommage imminent (et accessoirement que
les demandes de certains plaignants n'étaient pas recevables, si j'ai
bien suivi).
Les conséquences
... sont que la Justice ne s'est pas du tout prononcée sur le fond de la
question, ce qui est assez normal en référé, et très logique ici
puisque le tribunal a constaté l'absence des conditions qui auraient
pu lui permettre d'aborder le fond des demandes.
Par ailleurs, il semble qu'au moins un des demandeurs recevables va
interjeter appel. S'il le fait, cela ôtera à la décision actuelle
toute force de chose jugée, de sorte que même si la Justice s'était
prononcée, sa décision sera remise en cause et il faudra attendre la
décision d'appel qui viendra la supplanter -- sans préjudice, donc,
d'une décision de fond.
Le Wed, 27 May 2015 09:01:36 +0200, "." <@+gmail.com> a écrit :
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile nous pouvons engager les brèves de comptoir.
J'en resterai pour ma part à une discussion de droit aussi rigoureuse que j'ariverai à la tenir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on no us apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot " Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour définir un groupe d'individus en association soit...! ca nous change de l'adjectif
Non, la Justice n'a autorisé aucune privatisation d'aucun mot.
En fait, non, la Justice n'a rien autorisé.
Ce que la Justice a fait, c'est seulement indiquer qu'elle ne se prononcerait pas en référé, du fait de l'absence de trouble manifestement illicite et de dommage imminent (et accessoirement que les demandes de certains plaignants n'étaient pas recevables, si j'ai bien suivi).
Les conséquences
... sont que la Justice ne s'est pas du tout prononcée sur le fond de la question, ce qui est assez normal en référé, et très logique ici puisque le tribunal a constaté l'absence des conditions qui auraient pu lui permettre d'aborder le fond des demandes.
Par ailleurs, il semble qu'au moins un des demandeurs recevables va interjeter appel. S'il le fait, cela ôtera à la décision actuelle toute force de chose jugée, de sorte que même si la Justice s'était prononcée, sa décision sera remise en cause et il faudra attendre la décision d'appel qui viendra la supplanter -- sans préjudice, donc, d'une décision de fond.
Amicalement, -- Albert.
jr
Le 27/05/2015 09:01, . a écrit :
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile nous pouvons engager les brèves de comptoir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on nous apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot " Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour définir un groupe d'individus en association soit...! ca nous change de l'adjectif
Les conséquences
Les médias radio, tv citant ce parti on va entendre le bégaiement de mauvaise grammaire " Le les républicains ",
Ce n'est pas nouveau, ce ne sont pas les noms de marque avec article qui manquent. Le Monde, Le Figaro, Les DNA, etc. pour ne parler que des journaux.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Le 27/05/2015 09:01, . a écrit :
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile
nous pouvons engager les brèves de comptoir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on nous
apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule
forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot
" Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour
définir un groupe d'individus en association
soit...! ca nous change de l'adjectif
Les conséquences
Les médias radio, tv citant ce parti on va entendre le bégaiement de
mauvaise grammaire " Le les républicains ",
Ce n'est pas nouveau, ce ne sont pas les noms de marque avec article qui
manquent. Le Monde, Le Figaro, Les DNA, etc. pour ne parler que des
journaux.
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile nous pouvons engager les brèves de comptoir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on nous apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot " Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour définir un groupe d'individus en association soit...! ca nous change de l'adjectif
Les conséquences
Les médias radio, tv citant ce parti on va entendre le bégaiement de mauvaise grammaire " Le les républicains ",
Ce n'est pas nouveau, ce ne sont pas les noms de marque avec article qui manquent. Le Monde, Le Figaro, Les DNA, etc. pour ne parler que des journaux.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Christian Navis
. a formulé ce mercredi :
Commencent à nous gonfler l'un sur les mots , l'autre sur le passé résistant Vivement qu'ils dégagent le les deux cousins récupérateurs ! ( le laideux cousin récupérateur )
L'instrumentalisation de la Justice pour avoir le droit (ou non) de dire ou de nommer marque une nouvelle régression intellectuelle du parler descriptif à la pensée magique. Après la politique et l'économie, le judiciaire est contaminé à son tour par ce que Lacan appelait : "la réduction du sujet à son image." Le signifié ne désigne plus un concept mais une simple convention verbale. En ce sens, il rejoint le signifiant, image acoustique du mot, que chacun peut décliner à sa guise.
Étrange ressemblance entre l'homme primitif et l'énarque punitif. Dire c'est faire, affirmer c'est agir, et souhaiter c'est déjà obtenir.
Après le retour des délits d'opinion, prouvait la faiblesse argumentaire des autocrates... Puis les déclarations brodées d'anathèmes démontrant la fragilité conceptuelle des oligarques... Il était prévisible, sinon inéluctable, que des hiérarques lancent une OPA sur les mots, avec la volonté de se les approprier ou à défaut d'en priver l'adversaire. Puisque le whisful thinking brocardé par les gens d'esprit est devenu le sanctuaire-bastion de leur non-pensée.
Dans toutes ces pantalonnades, il y a au moins motif à se réjouir. Les socialauds qui voulaient prostituer Marianne à leur seul profit, sur les parkings du front ripouxpublicain, ont trouvé des barbeaux plus habiles qu'eux pour dresser la gueuse. L'asphalte, les allées sombres et les bars louches leur échappent. La politique du fait accompli quasi-irréversible, du fait des lenteurs des procédures. L'arroseur arrosé en quelque sorte. Ou le pisseur compissé, l'image est plus forte. ;o)
-- L’État est un monstre sanguinaire servi par des sociopathes. Leur plus odieux mensonge : “Nous représentons le peuple !” http://christian.navis.over-blog.com/
--- L'absence de virus dans ce courrier électronique a été vérifiée par le logiciel antivirus Avast. http://www.avast.com
. a formulé ce mercredi :
Commencent à nous gonfler
l'un sur les mots , l'autre sur le passé résistant
Vivement qu'ils dégagent le les deux cousins récupérateurs !
( le laideux cousin récupérateur )
L'instrumentalisation de la Justice pour avoir le droit (ou non) de
dire
ou de nommer marque une nouvelle régression intellectuelle du parler
descriptif à la pensée magique.
Après la politique et l'économie, le judiciaire est contaminé à son
tour
par ce que Lacan appelait : "la réduction du sujet à son image."
Le signifié ne désigne plus un concept mais une simple convention
verbale.
En ce sens, il rejoint le signifiant, image acoustique du mot,
que chacun peut décliner à sa guise.
Étrange ressemblance entre l'homme primitif et l'énarque punitif.
Dire c'est faire, affirmer c'est agir, et souhaiter c'est déjà obtenir.
Après le retour des délits d'opinion, prouvait la faiblesse
argumentaire
des autocrates...
Puis les déclarations brodées d'anathèmes démontrant la fragilité
conceptuelle des oligarques...
Il était prévisible, sinon inéluctable, que des hiérarques lancent
une OPA sur les mots, avec la volonté de se les approprier ou à défaut
d'en priver l'adversaire.
Puisque le whisful thinking brocardé par les gens d'esprit est devenu
le sanctuaire-bastion de leur non-pensée.
Dans toutes ces pantalonnades, il y a au moins motif à se réjouir.
Les socialauds qui voulaient prostituer Marianne à leur seul profit,
sur les parkings du front ripouxpublicain, ont trouvé des barbeaux
plus habiles qu'eux pour dresser la gueuse.
L'asphalte, les allées sombres et les bars louches leur échappent.
La politique du fait accompli quasi-irréversible, du fait des lenteurs
des procédures.
L'arroseur arrosé en quelque sorte.
Ou le pisseur compissé, l'image est plus forte. ;o)
--
L’État est un monstre sanguinaire servi par des sociopathes.
Leur plus odieux mensonge : “Nous représentons le peuple !”
http://christian.navis.over-blog.com/
---
L'absence de virus dans ce courrier électronique a été vérifiée par le logiciel antivirus Avast.
http://www.avast.com
Commencent à nous gonfler l'un sur les mots , l'autre sur le passé résistant Vivement qu'ils dégagent le les deux cousins récupérateurs ! ( le laideux cousin récupérateur )
L'instrumentalisation de la Justice pour avoir le droit (ou non) de dire ou de nommer marque une nouvelle régression intellectuelle du parler descriptif à la pensée magique. Après la politique et l'économie, le judiciaire est contaminé à son tour par ce que Lacan appelait : "la réduction du sujet à son image." Le signifié ne désigne plus un concept mais une simple convention verbale. En ce sens, il rejoint le signifiant, image acoustique du mot, que chacun peut décliner à sa guise.
Étrange ressemblance entre l'homme primitif et l'énarque punitif. Dire c'est faire, affirmer c'est agir, et souhaiter c'est déjà obtenir.
Après le retour des délits d'opinion, prouvait la faiblesse argumentaire des autocrates... Puis les déclarations brodées d'anathèmes démontrant la fragilité conceptuelle des oligarques... Il était prévisible, sinon inéluctable, que des hiérarques lancent une OPA sur les mots, avec la volonté de se les approprier ou à défaut d'en priver l'adversaire. Puisque le whisful thinking brocardé par les gens d'esprit est devenu le sanctuaire-bastion de leur non-pensée.
Dans toutes ces pantalonnades, il y a au moins motif à se réjouir. Les socialauds qui voulaient prostituer Marianne à leur seul profit, sur les parkings du front ripouxpublicain, ont trouvé des barbeaux plus habiles qu'eux pour dresser la gueuse. L'asphalte, les allées sombres et les bars louches leur échappent. La politique du fait accompli quasi-irréversible, du fait des lenteurs des procédures. L'arroseur arrosé en quelque sorte. Ou le pisseur compissé, l'image est plus forte. ;o)
-- L’État est un monstre sanguinaire servi par des sociopathes. Leur plus odieux mensonge : “Nous représentons le peuple !” http://christian.navis.over-blog.com/
--- L'absence de virus dans ce courrier électronique a été vérifiée par le logiciel antivirus Avast. http://www.avast.com
.
Le 27/05/2015 10:59, jr a écrit :
Le 27/05/2015 09:01, . a écrit :
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile nous pouvons engager les brèves de comptoir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on nous apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot " Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour définir un groupe d'individus en association soit...! ca nous change de l'adjectif
Les conséquences
Les médias radio, tv citant ce parti on va entendre le bégaiement de mauvaise grammaire " Le les républicains ",
Ce n'est pas nouveau, ce ne sont pas les noms de marque avec article qui manquent. Le Monde, Le Figaro, Les DNA, etc. pour ne parler que des journaux.
Certes mais " Le Les " ca me choque Si vous supprimez le "Le" en attaquant directement la phrase par " Les Républicains" ca voudrait dire que l'ex UMP raserait gratis avec son jetable deux lames tout poil saillant inscrit républicain
Pourrait-on ainsi généraliser à tout groupement institutionnalisé de personnes publique politiques cette forme d'expression Le les députés Le les sénateurs le les ministres du gouvernement ..républicain
V
Le 27/05/2015 10:59, jr a écrit :
Le 27/05/2015 09:01, . a écrit :
Bonjour
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile
nous pouvons engager les brèves de comptoir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on nous
apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule
forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot
" Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour
définir un groupe d'individus en association
soit...! ca nous change de l'adjectif
Les conséquences
Les médias radio, tv citant ce parti on va entendre le bégaiement de
mauvaise grammaire " Le les républicains ",
Ce n'est pas nouveau, ce ne sont pas les noms de marque avec article qui
manquent. Le Monde, Le Figaro, Les DNA, etc. pour ne parler que des
journaux.
Certes
mais " Le Les " ca me choque
Si vous supprimez le "Le" en attaquant directement la phrase par
" Les Républicains" ca voudrait dire que l'ex UMP raserait gratis
avec son jetable deux lames
tout poil saillant inscrit républicain
Pourrait-on ainsi généraliser à tout groupement institutionnalisé de
personnes publique politiques cette forme d'expression
Le les députés
Le les sénateurs
le les ministres du gouvernement ..républicain
L'académie française ne s'étant pas encore portée partie civile nous pouvons engager les brèves de comptoir.
A l'école de la République , avant la naissance de belleksème on nous apprenait qu"un article défini ne pouvait être utilisé que sur une seule forme devant un nom
La décision de justice vient d'autoriser la privatisation du mot " Républicain " sous la forme nominative " Les Républicains " pour définir un groupe d'individus en association soit...! ca nous change de l'adjectif
Les conséquences
Les médias radio, tv citant ce parti on va entendre le bégaiement de mauvaise grammaire " Le les républicains ",
Ce n'est pas nouveau, ce ne sont pas les noms de marque avec article qui manquent. Le Monde, Le Figaro, Les DNA, etc. pour ne parler que des journaux.
Certes mais " Le Les " ca me choque Si vous supprimez le "Le" en attaquant directement la phrase par " Les Républicains" ca voudrait dire que l'ex UMP raserait gratis avec son jetable deux lames tout poil saillant inscrit républicain
Pourrait-on ainsi généraliser à tout groupement institutionnalisé de personnes publique politiques cette forme d'expression Le les députés Le les sénateurs le les ministres du gouvernement ..républicain
V
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Le 27/05/2015 11:51, Christian Navis a écrit :
. a formulé ce mercredi :
Commencent à nous gonfler l'un sur les mots , l'autre sur le passé résistant Vivement qu'ils dégagent le les deux cousins récupérateurs ! ( le laideux cousin récupérateur )
L'instrumentalisation de la Justice pour avoir le droit (ou non) de dire ou de nommer marque une nouvelle régression intellectuelle du parler descriptif à la pensée magique. Après la politique et l'économie, le judiciaire est contaminé à son tour par ce que Lacan appelait : "la réduction du sujet à son image." Le signifié ne désigne plus un concept mais une simple convention verbale. En ce sens, il rejoint le signifiant, image acoustique du mot, que chacun peut décliner à sa guise.
Étrange ressemblance entre l'homme primitif et l'énarque punitif. Dire c'est faire, affirmer c'est agir, et souhaiter c'est déjà obtenir.
Après le retour des délits d'opinion, prouvait la faiblesse argumentaire
des autocrates... Puis les déclarations brodées d'anathèmes démontrant la fragilité conceptuelle des oligarques...
Il était prévisible, sinon inéluctable, que des hiérarques lancent une OPA sur les mots, avec la volonté de se les approprier ou à défaut d'en priver l'adversaire. Puisque le whisful thinking brocardé par les gens d'esprit est devenu le sanctuaire-bastion de leur non-pensée.
Dans toutes ces pantalonnades, il y a au moins motif à se réjouir. Les socialauds qui voulaient prostituer Marianne à leur seul profit, sur les parkings du front ripouxpublicain, ont trouvé des barbeaux plus habiles qu'eux pour dresser la gueuse.
;-)
V
L'asphalte, les allées sombres et les bars louches leur échappent. La politique du fait accompli quasi-irréversible, du fait des lenteurs des procédures. L'arroseur arrosé en quelque sorte. Ou le pisseur compissé, l'image est plus forte. ;o)
Le 27/05/2015 11:51, Christian Navis a écrit :
. a formulé ce mercredi :
Commencent à nous gonfler
l'un sur les mots , l'autre sur le passé résistant
Vivement qu'ils dégagent le les deux cousins récupérateurs !
( le laideux cousin récupérateur )
L'instrumentalisation de la Justice pour avoir le droit (ou non) de dire
ou de nommer marque une nouvelle régression intellectuelle du parler
descriptif à la pensée magique.
Après la politique et l'économie, le judiciaire est contaminé à son tour
par ce que Lacan appelait : "la réduction du sujet à son image."
Le signifié ne désigne plus un concept mais une simple convention
verbale.
En ce sens, il rejoint le signifiant, image acoustique du mot,
que chacun peut décliner à sa guise.
Étrange ressemblance entre l'homme primitif et l'énarque punitif.
Dire c'est faire, affirmer c'est agir, et souhaiter c'est déjà obtenir.
Après le retour des délits d'opinion, prouvait la faiblesse argumentaire
des autocrates...
Puis les déclarations brodées d'anathèmes démontrant la fragilité
conceptuelle des oligarques...
Il était prévisible, sinon inéluctable, que des hiérarques lancent
une OPA sur les mots, avec la volonté de se les approprier ou à défaut
d'en priver l'adversaire.
Puisque le whisful thinking brocardé par les gens d'esprit est devenu
le sanctuaire-bastion de leur non-pensée.
Dans toutes ces pantalonnades, il y a au moins motif à se réjouir.
Les socialauds qui voulaient prostituer Marianne à leur seul profit,
sur les parkings du front ripouxpublicain, ont trouvé des barbeaux
plus habiles qu'eux pour dresser la gueuse.
;-)
V
L'asphalte, les allées sombres et les bars louches leur échappent.
La politique du fait accompli quasi-irréversible, du fait des lenteurs
des procédures.
L'arroseur arrosé en quelque sorte.
Ou le pisseur compissé, l'image est plus forte. ;o)
Commencent à nous gonfler l'un sur les mots , l'autre sur le passé résistant Vivement qu'ils dégagent le les deux cousins récupérateurs ! ( le laideux cousin récupérateur )
L'instrumentalisation de la Justice pour avoir le droit (ou non) de dire ou de nommer marque une nouvelle régression intellectuelle du parler descriptif à la pensée magique. Après la politique et l'économie, le judiciaire est contaminé à son tour par ce que Lacan appelait : "la réduction du sujet à son image." Le signifié ne désigne plus un concept mais une simple convention verbale. En ce sens, il rejoint le signifiant, image acoustique du mot, que chacun peut décliner à sa guise.
Étrange ressemblance entre l'homme primitif et l'énarque punitif. Dire c'est faire, affirmer c'est agir, et souhaiter c'est déjà obtenir.
Après le retour des délits d'opinion, prouvait la faiblesse argumentaire
des autocrates... Puis les déclarations brodées d'anathèmes démontrant la fragilité conceptuelle des oligarques...
Il était prévisible, sinon inéluctable, que des hiérarques lancent une OPA sur les mots, avec la volonté de se les approprier ou à défaut d'en priver l'adversaire. Puisque le whisful thinking brocardé par les gens d'esprit est devenu le sanctuaire-bastion de leur non-pensée.
Dans toutes ces pantalonnades, il y a au moins motif à se réjouir. Les socialauds qui voulaient prostituer Marianne à leur seul profit, sur les parkings du front ripouxpublicain, ont trouvé des barbeaux plus habiles qu'eux pour dresser la gueuse.
;-)
V
L'asphalte, les allées sombres et les bars louches leur échappent. La politique du fait accompli quasi-irréversible, du fait des lenteurs des procédures. L'arroseur arrosé en quelque sorte. Ou le pisseur compissé, l'image est plus forte. ;o)