Selon Reuters, Qualcomm accuse à nouveau le premier constructeur de téléphones mobiles de violation de brevets qui sont cette fois-ci au nombre de cinq. Il s'agit donc d'une nouvelle affaire entre les deux firmes qui sont en conflit depuis plusieurs mois, les différents litiges reposant à chaque fois sur la détention de brevets.
Qualcomm, fournisseur de puces pour téléphones mobiles basés sur la technologie CDMA ( Code Division Multiple Access, utilisée aux Etats-Unis ) et leader de son secteur, a indiqué que les brevets relatifs à ces nouvelles plaintes concernaient le téléchargement d'applications par l'intermédiaire de réseaux sans fil ainsi que les dictaphones embarqués sur certains appareils.
Le groupe états-unien a déclaré que ces nouvelles demandes ciblaient les combinés mobiles Nokia GSM/GPRS/EDGE, qu'il souhaitait qu'une injonction lui soit adressée pour la vente de ces appareils et que des dommages et intérêts lui soient reversés. Une porte-parole de Nokia a déclaré : " Nous pensons que cette affaire est par ailleurs sans aucun mérite. Nokia se défendra activement pour s'assurer que les droits de la compagnie soient protégés ".
Le 20 mars dernier, c'est Nokia qui attaquait Qualcomm pour des brevets, contestant notamment la future validité de la licence Qualcomm concernant les chipsets Texas Instruments car elle arrive à expiration ( voir notre actualité ).
Qualcomm, fournisseur de puces pour téléphones mobiles basés sur la technologie CDMA ( Code Division Multiple Access, utilisée aux Etats-Unis ) et leader de son secteur, a indiqué que les brevets relatifs à ces nouvelles plaintes concernaient le téléchargement d'applications par l'intermédiaire de réseaux sans fil ainsi que les dictaphones embarqués sur certains appareils.
Le groupe états-unien a déclaré que ces nouvelles demandes ciblaient les combinés mobiles Nokia GSM/GPRS/EDGE, qu'il souhaitait qu'une injonction lui soit adressée pour la vente de ces appareils et que des dommages et intérêts lui soient reversés. Une porte-parole de Nokia a déclaré : " Nous pensons que cette affaire est par ailleurs sans aucun mérite. Nokia se défendra activement pour s'assurer que les droits de la compagnie soient protégés ".
Le 20 mars dernier, c'est Nokia qui attaquait Qualcomm pour des brevets, contestant notamment la future validité de la licence Qualcomm concernant les chipsets Texas Instruments car elle arrive à expiration ( voir notre actualité ).