A la fin du mois de novembre dernier, nous apprenions que Debitel, opérateur de téléphonie mobile virtuel allemand à bas prix s'appuyant sur le réseau mobile de SFR en France et comptabilisant plus de 10 millions d'abonnés à travers l'Europe, avait décidé de se séparer de ses quatre filiales étrangères situées au Danemark, en France, aux Pays-Bas et en Slovénie. La raison évoquée par Permina, le fond d'investissement britannique derrière cet opérateur, était le fait qu'il n'y avait aucune réelle perspective d'évolution sur ces quatre marchés.
3 candidats pour la filiale française se sont déjà fait connaître
En effet, selon un article paru ce lundi dans le quotidien financier Les Echos, trois acheteurs potentiels se sont déjà fait connaître. Il s'agit d'Avenir Telecom, de Coriolis et de Phone House. Valorisée à 30 millions d'euros, la filiale française de Debitel comptait 170 boutiques pour 160.000 clients et un chiffre d'affaires de 220.000 millions d'euros en 2006. Malgré les 10.000 clients supplémentaires par rapport à 2005, le chiffre d'affaires accuse un recul de 39 millions d'euros et le nombre d'abonnés est bien inférieur aux 500.000 initialement prévus pour la fin 2006.
Bref, il s'avère que Debitel France stagne. Si la filiale n'intéressera pas forcément un acteur tel SFR, elle peut en revanche intéresser un petit opérateur mobile virtuel désirant accroître sensiblement le nombre de ses abonnés.
3 candidats pour la filiale française se sont déjà fait connaître
En effet, selon un article paru ce lundi dans le quotidien financier Les Echos, trois acheteurs potentiels se sont déjà fait connaître. Il s'agit d'Avenir Telecom, de Coriolis et de Phone House. Valorisée à 30 millions d'euros, la filiale française de Debitel comptait 170 boutiques pour 160.000 clients et un chiffre d'affaires de 220.000 millions d'euros en 2006. Malgré les 10.000 clients supplémentaires par rapport à 2005, le chiffre d'affaires accuse un recul de 39 millions d'euros et le nombre d'abonnés est bien inférieur aux 500.000 initialement prévus pour la fin 2006.
Bref, il s'avère que Debitel France stagne. Si la filiale n'intéressera pas forcément un acteur tel SFR, elle peut en revanche intéresser un petit opérateur mobile virtuel désirant accroître sensiblement le nombre de ses abonnés.