Seulement, l'homme est paradoxal. Devant cette prise de conscience collective, ils sont néanmoins encore 66 % à admettre lire des messages texte alors qu'ils sont au volant. 57 % reconnaissent en écrire de temps en temps. En outre, ces chiffres s'élèvent à 79 et 72 % pour les individus âgés de 18 à 34 ans et chutent à 55% pour les seniors de plus de 55 ans.
Lorsqu'on relie cette étude avec celle menée par le Virginia Tech Transportation Institute et la US National Highway Safety Administration l'année dernière, il semble très probable que des mesures vont être prises aux Etats-Unis. D'après ces organisations, près de 80 % des accidents automobiles incriminent la distraction des conducteurs états-uniens, une malveillance d'abord provoquée par le téléphone mobile.