En fin de semaine dernière, le président des États-Unis Donald Trump a annoncé sur Twitter avoir été testé positif au Covid-19. Il est depuis hospitalisé, mais s'évertue à montrer ostensiblement qu'il va bien et il pourrait même être de retour très rapidement à la Maison-Blanche.

Donald Trump est très suivi sur Twitter et son annonce a logiquement rapidement généré un nombre conséquent de retweets, de tweets cités et de likes. Mais pour ces likes - ou J'aime - dont la dénomination peut prêter à confusion, il convient de ne pas être malintentionné.

Twitter a rappelé que les tweets qui souhaitent ou espèrent la mort, des blessures corporelles graves ou une maladie mortelle à une personne ou à un groupe de personnes ne sont pas autorisés et devront être supprimés. Ce rappel ne vaut donc pas uniquement pour le cas de Donald Trump, mais de quiconque.

Le réseau social de microblogging précise toutefois qu'il n'y a pas de suspension automatique le cas échéant. Une telle procédure fera l'objet du suivi habituel. Ce rappel a suscité la surprise de certains utilisateurs en soulignant que par le passé, Twitter n'a pas été aussi prompt à réagir.

Une porte-parole de Facebook a également indiqué que le réseau social supprime les menaces de mort ou le contenu visant directement le président des États-Unis et souhaitant sa mort, y compris dans les commentaires sur ses messages ou sa page.