Dans un pays pourtant dominé par le piratage, Warner Music et Sony BMG ont indiqué avoir formé une nouvelle entité appelée Digital Acess avec deux labels russes, Soyuz et Nikitin Records ainsi qu'avec l'industriel Access Industries.
Basée à Moscou, cette nouvelle plate-forme proposera des fichiers musicaux à l'unité, des téléchargements d'albums en intégralité, des sonneries et des clips vidéo. Digital Access sera vraiment lancé, commercialement parlant, lors du quatrième trimestre 2007. Afin de proposer une offre la plus large possible, cette plate-forme travaillera avec les fournisseurs de contenus protégés, les ayants-droit, les opérateurs mobiles et les boutiques en ligne; le catalogue disponible sera donc étendu.
" C'est un investissement stratégique qui jouera, selon nous, un rôle central dans le déblocage du potentiel du marché musical russe ", a déclaré le président et directeur exécutif de Warner Music International, Patrick Vien. Face à la prolifération du piratage, Warner ne cesse de faire pression sur la Russie pour endiguer ce qu'elle considère comme un fléau. Selon Reuters, des avocats états-uniens avaient accusé le mois dernier la Chine et le pays grand comme un continent d'être les deux pays les plus touchés par ce phénomène.
Ainsi, en 2006, l'industrie du disque aurait enregistré un manque à gagner de 2,18 milliards de $ à cause du piratage russe. Les termes financiers de cette affaire n'ont pas été dévoilés.
Basée à Moscou, cette nouvelle plate-forme proposera des fichiers musicaux à l'unité, des téléchargements d'albums en intégralité, des sonneries et des clips vidéo. Digital Access sera vraiment lancé, commercialement parlant, lors du quatrième trimestre 2007. Afin de proposer une offre la plus large possible, cette plate-forme travaillera avec les fournisseurs de contenus protégés, les ayants-droit, les opérateurs mobiles et les boutiques en ligne; le catalogue disponible sera donc étendu.
" C'est un investissement stratégique qui jouera, selon nous, un rôle central dans le déblocage du potentiel du marché musical russe ", a déclaré le président et directeur exécutif de Warner Music International, Patrick Vien. Face à la prolifération du piratage, Warner ne cesse de faire pression sur la Russie pour endiguer ce qu'elle considère comme un fléau. Selon Reuters, des avocats états-uniens avaient accusé le mois dernier la Chine et le pays grand comme un continent d'être les deux pays les plus touchés par ce phénomène.
Ainsi, en 2006, l'industrie du disque aurait enregistré un manque à gagner de 2,18 milliards de $ à cause du piratage russe. Les termes financiers de cette affaire n'ont pas été dévoilés.