Bert Nordberg, son CEO, a expliqué que ses smartphones se vendaient bien mais qu'il avait fallu faire face à des pénuries de composants sur les affichages LCD et les circuits imprimés, ne permettant pas d'atteindre les objectifs de ventes ce trimestre.
Le fabricant a annoncé avoir écoulé 10,4 millions de terminaux alors qu"il prévoyait lui-même un volume de 12 millions d'unités, tandis que le chiffre d'affaires a atteint 1,6 milliard d'euros quand les analystes espéraient 1,8 milliard d'euros.
Un problème seulement conjoncturel
Bert Nordberg veut donc rassurer sur la solidité du retour de la société vers la rentabilité et sur le succès de ses terminaux mobiles sous Android et Symbian OS de la gamme Xperia. La transition vers les smartphones est désormais bien engagée et l'évolution des indicateurs financiers suggère que Sony Ericsson est effectivement en train d'améliorer ses performances.
Du fait de l'explosion du marché des smartphones, la demande est très forte en composants divers et les capacités de production peinent à satisfaire tout le monde, d'autant plus que certains éléments sont produits en quantités plus faibles ( certaines tailles d'écran, certains types de dalles... ).
Le premier semestre a été marqué par des problèmes de livraison de la part de plusieurs fabricants de smartphones alors même que la demande ne faiblit pas, alimentée par les efforts des opérateurs mobiles sur les prix.
Publié le
par Christian D.
Pour expliquer ses résultats financiers corrects pour le troisième trimestre 2010 mais en-dessous des attentes des analystes, son CEO Bert Nordberg a souligné que la société avait souffert de problèmes de pénurie de certains composants.
Source :
Reuters
Journaliste GNT spécialisé en mobilité / Ante-Geek des profondeurs du Web et d'ailleurs
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