Baptisée Super 3G au pays du Soleil levant, elle doit fournir des débits descendants de 100 Mbps et montants de 50 Mbps, mais l'opérateur vient d'annoncer qu'il a obtenu des débits descendants stables de l'ordre de 250 Mbps lors d'une expérimentation en conditions réelles.
Premier lancement prévu en 2009-2010
Le test s'est déroulé sur le site de son laboratoire de R&D de Yokosuka, au sud de Tokyo, qui dispose d'un réseau Super 3G expérimental depuis le mois de février. Il a permis de vérifier la bonne tenue du système d'antennes MIMO ( Multiple Input Multiple Output ) entre une station de base émettrice et un terminal mobile récepteur exploitant une bande passante de 20 MHz, le maximum possible selon les standards Super 3G.
La Super 3G, avec ses très hauts débits mobiles et ses temps de latence courts, doit prendre le relais des technologies 3G HSPA ( High Speed Packet Access ), comprenant le HSDPA ( Downlink ) et le HSUPA ( Uplink ), actuellement en cours de déploiement un peu partout dans le monde.
NTT DoCoMo a lancé des appels d'offre aux fournisseurs pour la Super 3G dès juillet 2006. Ceux-ci, parmi lesquels on compte NEC et Fujitsu, livreront leurs premiers équipements dès 2009.
