Le pot de fer contre le pot de terre ou un remake de l’affaire Milka contre Milka qui avait tenu en haleine le Web, c’est ainsi que pourrait être présentée cette nouvelle affaire dont l’un des protagonistes n’est autre que le numéro un mondial du logiciel, Microsoft. C’est cette fois-ci non plus une couturière qui est prise dans la tourmente judiciaire mais une mère de famille néerlandaise placée à la tête de la société Unicaresoft SA.
Directement concernée par les risques liés à l’utilisation d’Internet avec ses trois enfants, Clara Eppink est à l’origine d’une solution logicielle pour le contrôle de l’utilisation de ce média et du chat en particulier. Problème, cette solution a été baptisée MSNLock avec la réservation de plusieurs noms de domaine dédiés, ce qui n’a pas du tout plu à Microsoft. Pour Redmond, de MSNLock à MSN il n’y a en effet qu’un pas, et MSN est évidemment une marque lui appartenant. Pression de Microsoft oblige le logiciel est finalement sorti sous le nom de Benzoy mais les noms de domaine avec MSN cité demeurent.
Pas très bon pour l'image de marque de Microsoft
Avec Unicaresoft, Eppink devra donc s’expliquer mercredi devant le juge et pourra toujours faire valoir que eu égard à la grande popularité du logiciel de messagerie instantanée de Microsoft, MSN est presque passé dans le langage courant. L’incompréhension de Eppink demeure par ailleurs car on ne compte plus le nombre de sites utilisant MSN sans que ces derniers ne fassent pour autant l’objet de poursuites. Certes, mais inciter à la limitation de l’un des services de Microsoft même si cela est pour des fins louables, cela semble inacceptable pour le géant américain.
Directement concernée par les risques liés à l’utilisation d’Internet avec ses trois enfants, Clara Eppink est à l’origine d’une solution logicielle pour le contrôle de l’utilisation de ce média et du chat en particulier. Problème, cette solution a été baptisée MSNLock avec la réservation de plusieurs noms de domaine dédiés, ce qui n’a pas du tout plu à Microsoft. Pour Redmond, de MSNLock à MSN il n’y a en effet qu’un pas, et MSN est évidemment une marque lui appartenant. Pression de Microsoft oblige le logiciel est finalement sorti sous le nom de Benzoy mais les noms de domaine avec MSN cité demeurent.
Pas très bon pour l'image de marque de Microsoft
Avec Unicaresoft, Eppink devra donc s’expliquer mercredi devant le juge et pourra toujours faire valoir que eu égard à la grande popularité du logiciel de messagerie instantanée de Microsoft, MSN est presque passé dans le langage courant. L’incompréhension de Eppink demeure par ailleurs car on ne compte plus le nombre de sites utilisant MSN sans que ces derniers ne fassent pour autant l’objet de poursuites. Certes, mais inciter à la limitation de l’un des services de Microsoft même si cela est pour des fins louables, cela semble inacceptable pour le géant américain.
Source :
PR Newswire