La GSM Association ( GSMA ), qui regroupe plus de 700 opérateurs mobiles, a soutenu en 2007 plusieurs initiatives pour mettre en place des services mobiles bancaires, qui sont vus comme un moyen d'aider au développement des économies émergentes.
L'étude commandée au cabinet de conseil Edgar Dunn confirme le rôle essentiel de la banque mobile dans les prochaines années puisque 1,4 milliard de personnes devraient les utiliser en 2015, contre moins de 10 millions en 2007.
Différents projets sont supportés par la GSMA, comme Mobile Money Transfer ou Pay-Buy-Mobile, pour transformer les téléphones en portefeuille mobile et permettre aux opérateurs de gérer des services financiers à bas coût et faciles à mettre en place dans les pays émergents.
" Avec l'aide des gouvernements, les réseaux mobiles peuvent porter les bénéfices sociaux et économiques des services bancaires à des centaines de millions de personnes sans contact avec le réseau bancaire traditionnel ", estime Rob Conway, président de la GSMA.
Adapter les législations pour développer les services bancaires mobiles
Si la banque mobile est prometteuse, l'étude Edgar Dunn estime que le plus gros obstacle à leur développement vient des réglementations imposées par les gouvernements. La GSMA appelle ces derniers à modifier leur législation pour favoriser la création de services de transferts de fonds pour de petites sommes et pour permettre à des organismes non bancaires d'assurer des fonctions d'agents de la banque afin d'assurer les opérations d'entrée et de sortie de cash là où la banque traditionnelle n'a pas de réseau ( en zone rurale par exemple ) mais dans le rayon d'action de la banque mobile.
" Nous avons une immense possibilité d'agir positivement sur la vie de centaines de millions de personnes en créant des services mobiles bancaires. Cependant, les gouvernements doivent s'assurer que la législation adéquate est en place et que les obstacles sont levés pour assurer la croissance de ce marché, bénéfique pour l'ensemble de la société ", indique Sunil Mittal, président de l'opérateur indien Bharti Airtel, membre de la GSMA.
Mise en sécurité des fonds et microfinance sont autant de moyens de lutter contre la pauvreté et de développer un tissu économique dans les pays en voie de développement et les téléphones portables sont en mesure d'assurer cette interface entre les plus pauvres et les organismes bancaires.
Une réunion mondiale, le Mobile Money Summit 2008, se tiendra en mai prochain et réunira gouvernements et industriels pour réfléchir ensemble aux possibilités de la banque mobile.
L'étude commandée au cabinet de conseil Edgar Dunn confirme le rôle essentiel de la banque mobile dans les prochaines années puisque 1,4 milliard de personnes devraient les utiliser en 2015, contre moins de 10 millions en 2007.
Différents projets sont supportés par la GSMA, comme Mobile Money Transfer ou Pay-Buy-Mobile, pour transformer les téléphones en portefeuille mobile et permettre aux opérateurs de gérer des services financiers à bas coût et faciles à mettre en place dans les pays émergents.
" Avec l'aide des gouvernements, les réseaux mobiles peuvent porter les bénéfices sociaux et économiques des services bancaires à des centaines de millions de personnes sans contact avec le réseau bancaire traditionnel ", estime Rob Conway, président de la GSMA.
Adapter les législations pour développer les services bancaires mobiles
Si la banque mobile est prometteuse, l'étude Edgar Dunn estime que le plus gros obstacle à leur développement vient des réglementations imposées par les gouvernements. La GSMA appelle ces derniers à modifier leur législation pour favoriser la création de services de transferts de fonds pour de petites sommes et pour permettre à des organismes non bancaires d'assurer des fonctions d'agents de la banque afin d'assurer les opérations d'entrée et de sortie de cash là où la banque traditionnelle n'a pas de réseau ( en zone rurale par exemple ) mais dans le rayon d'action de la banque mobile.
" Nous avons une immense possibilité d'agir positivement sur la vie de centaines de millions de personnes en créant des services mobiles bancaires. Cependant, les gouvernements doivent s'assurer que la législation adéquate est en place et que les obstacles sont levés pour assurer la croissance de ce marché, bénéfique pour l'ensemble de la société ", indique Sunil Mittal, président de l'opérateur indien Bharti Airtel, membre de la GSMA.
Mise en sécurité des fonds et microfinance sont autant de moyens de lutter contre la pauvreté et de développer un tissu économique dans les pays en voie de développement et les téléphones portables sont en mesure d'assurer cette interface entre les plus pauvres et les organismes bancaires.
Une réunion mondiale, le Mobile Money Summit 2008, se tiendra en mai prochain et réunira gouvernements et industriels pour réfléchir ensemble aux possibilités de la banque mobile.