Initialement, la date butoir expirait au début du mois de juin, mais elle a été rallongée de deux semaines après une demande d'Apple et trois maisons de disque, explique Jonathan Todd, porte-parole de la division concurrence au sein de la Commission européenne.
Cette dernière attend toujours les réponses de ces quatre compagnies tandis qu'une maison de disques a déjà répondu à ses interrogations, a indiqué Todd, selon des propos relayés par InfoWorld. La Commission n'a pas souhaité nommé les quatre labels incriminés mais il semble que ce soit les quatre plus grandes majors à savoir Sony BMG Music Entertainment, Universal Music Group, Warner Music, et EMI Group.
" Nous avons toutes les raisons de croire que les compagnies restantes répondront avant la nouvelle date butoir " a indiqué Todd. Parmi les questions soulevées, il y a le fait qu'iTunes propose les mêmes morceaux musicaux à des tarifs différents suivant les pays de l'Union européenne alors même qu'un consommateur britannique ne pourra pas, par exemple, télécharger des morceaux sur iTunes Allemagne.
Dans le cadre du marché européen, la Commission estime que ces accords de distribution entre les maisons de disques et Apple pourraient se solder par des pratiques restrictives pour les consommateurs. Du côté du groupe de Steve Jobs, on explique que la compagnie a toujours essayé de mettre en place un iTunes paneuropéen mais que les fournisseurs de contenus audio l'empêchent de procéder ainsi.
Cette dernière attend toujours les réponses de ces quatre compagnies tandis qu'une maison de disques a déjà répondu à ses interrogations, a indiqué Todd, selon des propos relayés par InfoWorld. La Commission n'a pas souhaité nommé les quatre labels incriminés mais il semble que ce soit les quatre plus grandes majors à savoir Sony BMG Music Entertainment, Universal Music Group, Warner Music, et EMI Group.
" Nous avons toutes les raisons de croire que les compagnies restantes répondront avant la nouvelle date butoir " a indiqué Todd. Parmi les questions soulevées, il y a le fait qu'iTunes propose les mêmes morceaux musicaux à des tarifs différents suivant les pays de l'Union européenne alors même qu'un consommateur britannique ne pourra pas, par exemple, télécharger des morceaux sur iTunes Allemagne.
Dans le cadre du marché européen, la Commission estime que ces accords de distribution entre les maisons de disques et Apple pourraient se solder par des pratiques restrictives pour les consommateurs. Du côté du groupe de Steve Jobs, on explique que la compagnie a toujours essayé de mettre en place un iTunes paneuropéen mais que les fournisseurs de contenus audio l'empêchent de procéder ainsi.