La première vidéo de DiRT 3 nous propose une spéciale de nuit, une descente dans les routes sinueuses du Kenya. Conduire de nuit est un exercice périlleux du fait de la faible visibilité forçant le pilote à rester vigilant et à lever le pied au moindre souci. Dans ce cadre de visibilité amoindrie, la lune reste une bonne source d’éclairage et un repère spatial utile.

La seconde vidéo se déroule en Norvège, une épreuve qui implique sans surprise un pilotage sur neige. La neige implique des réflexes automobiles différents mais aussi des sonorités uniques. Etant donné que la course se déroule de jour, on peut aisément apercevoir l’évolution visuelle de la voiture qui accumule progressivement de la neige sur sa partie supérieure.

Les six images obtenues par Eurogamer font part d’une qualité visuelle haute qui reste conforme à la réalité. Il est en effet difficile de capturer complètement la précision d’un titre en vidéo à moins de faire appel à des hautes résolutions. Elles demandent des outils de capture onéreux qui sont difficiles à amortir.