Pour souvenir, espérant réduire les coûts tout en assurant la conservation de ses emplois jusqu'en 2011, Deutsche Telekom, opérateur télécom allemand, avait annoncé le transfert de 50 000 de ses salariés à partir du premier juillet prochain.
Sauf que le fait de devoir travailler 4 heures de plus par semaine ( 39 heures au lieu de 35 ) pour un salaire réduit au passage de 9 % n'a pas plu aux employés concernés, ce qui se comprend parfaitement. Verdi, le principal syndicat du groupe, avait ainsi entamé un mouvement de grève et n'a visiblement pas l'intention de lâcher prise.
Trois semaines déjà !
Cela fait en effet trois semaines que les salariés sont en grève. Ils sont 16 000 à avoir suivi le mouvement ce mercredi. Les négociations n'avancent pas du tout, les deux parties campant fermement sur leurs positions.
Lors d'une entrevue accordée au quotidien Bild, Frank Bsirske, le patron de Verdi, déclarait : " Si nécessaire, nous poursuivrons la grève dans la nouvelle filiale T-Service, donc pendant la deuxième moitié de l'année. "
Attendant la réponse définitive de Deutsche Telekom concernant son plan d'externalisation ce jeudi, il ajoutait : " L'État ( ndlr : le principal actionnaire avec 32 % ) a une obligation sociale envers les salariés de Telekom qu'il doit enfin remplir. "
Pour les employés concernés, il reste donc à croiser les doigts jusqu'à jeudi, soit demain.
Sauf que le fait de devoir travailler 4 heures de plus par semaine ( 39 heures au lieu de 35 ) pour un salaire réduit au passage de 9 % n'a pas plu aux employés concernés, ce qui se comprend parfaitement. Verdi, le principal syndicat du groupe, avait ainsi entamé un mouvement de grève et n'a visiblement pas l'intention de lâcher prise.
Trois semaines déjà !
Cela fait en effet trois semaines que les salariés sont en grève. Ils sont 16 000 à avoir suivi le mouvement ce mercredi. Les négociations n'avancent pas du tout, les deux parties campant fermement sur leurs positions.
Lors d'une entrevue accordée au quotidien Bild, Frank Bsirske, le patron de Verdi, déclarait : " Si nécessaire, nous poursuivrons la grève dans la nouvelle filiale T-Service, donc pendant la deuxième moitié de l'année. "
Attendant la réponse définitive de Deutsche Telekom concernant son plan d'externalisation ce jeudi, il ajoutait : " L'État ( ndlr : le principal actionnaire avec 32 % ) a une obligation sociale envers les salariés de Telekom qu'il doit enfin remplir. "
Pour les employés concernés, il reste donc à croiser les doigts jusqu'à jeudi, soit demain.
Source :
AFP