Les UMD, ou Ultra Mobile Devices, ouvre la voie à l'informatique nomade (dans une plus grande proportion que les ordinateurs portables et ultraportables ) sans être limités au niveau de la puissance (comme c'est le cas avec les PDA).
Les UMD sont divisés en deux catégories distinctes par le cabinet d'études ABI Research : les UMPC ( Ultra Mobile PC ) d'un côté, appareils mobiles professionnels utilisant un système d'exploitation Windows, et les MID ( Mobile Internet Devices ), produits grand public privilégiant le système Linux.
C'est cette deuxième catégorie qui devrait dominer les UMD et ABI Research voit en les tablettes Nokia N800 et l' iPhone d' Apple des sortes de précurseurs de ce que pourraient être les MID. Quelle que soit sa catégorie, l'appareil qualifié comme UMD ne pourra se passer de multiples connectivités sans fil : WiFi, WiMAX, cellulaire, pour assurer la capacité de se connecter partout et tout le temps.
Un avenir radieux sous conditions
Pour le cabinet d'études, les UMD vont se développer significativement ces cinq prochaines années et représenter un parc de 95 millions d'appareils d'ici 2012, créant un créneau très intéressant financièrement pour les fabricants.
Leur force vient de leur polyvalence. Ils sont capables de navigation web, de communications vocales et data, de messagerie ou encore de gestion multimédia. Du côté professionnel, les applications verticales commerciales et de nouvelles applications, comme la surveillance médicale, assureront son succès.
Dans son étude, ABI Research identifie plusieurs types de consommateurs potentiels, de l'utilisateurs généraliste à l'enthousiaste multimédia en passant par l'affamé des réseaux sociaux de la fameuse Génération Y ( celle baignant dans l'Internet depuis sa naissance ).
Plusieurs centaines de fabricants, intégrateurs et fournisseurs de composants devraient créer le coeur de l'écosystème UMD, mais aussi un certain nombre de développeurs d'applications et de fournisseurs de services.
Si l'avenir des UMD est plutôt lumineux, les observateurs du marché s'accordent cependant à estimer que le décollage de ce secteur devra attendre un certain nombre d'innovations technologiques pour vaincre les limitations les plus criantes, comme par exemple l'autonomie.
Les UMD sont divisés en deux catégories distinctes par le cabinet d'études ABI Research : les UMPC ( Ultra Mobile PC ) d'un côté, appareils mobiles professionnels utilisant un système d'exploitation Windows, et les MID ( Mobile Internet Devices ), produits grand public privilégiant le système Linux.
C'est cette deuxième catégorie qui devrait dominer les UMD et ABI Research voit en les tablettes Nokia N800 et l' iPhone d' Apple des sortes de précurseurs de ce que pourraient être les MID. Quelle que soit sa catégorie, l'appareil qualifié comme UMD ne pourra se passer de multiples connectivités sans fil : WiFi, WiMAX, cellulaire, pour assurer la capacité de se connecter partout et tout le temps.
Un avenir radieux sous conditions
Pour le cabinet d'études, les UMD vont se développer significativement ces cinq prochaines années et représenter un parc de 95 millions d'appareils d'ici 2012, créant un créneau très intéressant financièrement pour les fabricants.
Leur force vient de leur polyvalence. Ils sont capables de navigation web, de communications vocales et data, de messagerie ou encore de gestion multimédia. Du côté professionnel, les applications verticales commerciales et de nouvelles applications, comme la surveillance médicale, assureront son succès.
Dans son étude, ABI Research identifie plusieurs types de consommateurs potentiels, de l'utilisateurs généraliste à l'enthousiaste multimédia en passant par l'affamé des réseaux sociaux de la fameuse Génération Y ( celle baignant dans l'Internet depuis sa naissance ).
Plusieurs centaines de fabricants, intégrateurs et fournisseurs de composants devraient créer le coeur de l'écosystème UMD, mais aussi un certain nombre de développeurs d'applications et de fournisseurs de services.
Si l'avenir des UMD est plutôt lumineux, les observateurs du marché s'accordent cependant à estimer que le décollage de ce secteur devra attendre un certain nombre d'innovations technologiques pour vaincre les limitations les plus criantes, comme par exemple l'autonomie.