Affaire du WiFi dans les bibliothèques parisiennes, suite et fin ? Depuis la fin de l'année 2007, la question du WiFi et de ses potentiels risques sanitaires fait l'objet d'une vive polémique dans les bibliothèques de la Ville de Paris. Plusieurs employés se sont ainsi plaints de troubles comme des maux de tête et des malaises, et au nom du principe de précaution et sous la pression syndicale le WiFi a été désactivé dans 4 bibliothèques.
Réuni hier, le Comité d'Hygiène et de Sécurité de la Direction des Affaires Culturelles qui avait pris cette décision, a fait machine arrière sur la base de résultats de mesures du champ électromagnétique, effectuées par des laboratoires " indépendants et agréés " comme l'a souligné la mairie de Paris. Des niveaux de 80 à 400 fois inférieurs au niveau de référence le plus faible ont ainsi été enregistrés, alors que des visites médicales proposées à l'ensemble des agents s'étant dits victimes de maux liés au WiFi n'ont révélé aucune pathologie. Le CHS a donc décidé que le WiFi peut être rebranché.
Selon Libération, à l'exception de la CFDT, les syndicats se sont opposés à ce rebranchement. Rappelons que les associations Priartém et Agir pour l'Environnement avaient dénoncé un protocole de mesures défini pour les fréquences du GSM et non adapté à celles du WiFi. De son côté, le syndicat majoritaire Supap-FSU a annoncé le dépôt d'un " recours en annulation pour excès de pouvoir ", et de demander la convocation d'un nouveau comité. Pas sûr donc que l'affaire soit réellement terminée.
Réuni hier, le Comité d'Hygiène et de Sécurité de la Direction des Affaires Culturelles qui avait pris cette décision, a fait machine arrière sur la base de résultats de mesures du champ électromagnétique, effectuées par des laboratoires " indépendants et agréés " comme l'a souligné la mairie de Paris. Des niveaux de 80 à 400 fois inférieurs au niveau de référence le plus faible ont ainsi été enregistrés, alors que des visites médicales proposées à l'ensemble des agents s'étant dits victimes de maux liés au WiFi n'ont révélé aucune pathologie. Le CHS a donc décidé que le WiFi peut être rebranché.
Selon Libération, à l'exception de la CFDT, les syndicats se sont opposés à ce rebranchement. Rappelons que les associations Priartém et Agir pour l'Environnement avaient dénoncé un protocole de mesures défini pour les fréquences du GSM et non adapté à celles du WiFi. De son côté, le syndicat majoritaire Supap-FSU a annoncé le dépôt d'un " recours en annulation pour excès de pouvoir ", et de demander la convocation d'un nouveau comité. Pas sûr donc que l'affaire soit réellement terminée.