Les informations sur le premier smartphone sous Android fusent à mesure que sa date de lancement, fixée au 23 septembre prochain, approche. Après avoir suggéré que la commercialisation débuterait fin octobre, le Wall Street Journal indique que le HTC Dream / T-Mobile G1 sera commercialisé au prix de 199 dollars associé à plusieurs possibilités d'abonnement chez T-Mobile USA, dont on sait seulement qu'elles devraiten être " attractives ".
Le choix de ce prix n'est pas anodin puisqu'il constitue une sorte de référence auprès des opérateurs américains depuis l'introduction de l' iPhone 3G et identifie les smartphones multimédia. Cela permettra à T-Mobile de se placer en concurrence frontale avec AT&T, distributeur de l' iPhone aux Etats-Unis.
Beaucoup d'espoirs fondés sur Android
Dans un entretien accordé à Forbes, Joel Espelien, vice-président de la stratégie chez Packetvideo, fournisseur de services multimédia, permet d'en savoir un peu plus sur les promesses d' Android. Celui-ci indique ainsi que le système d'exploitation se montre très réactif et capable de charger des pages Web encore plus rapidement que sur l' iPhone 3G grâce à l'utilisation des technologies les plus récentes combinée à un matériel puissant.
D'autre part, la présence de Google sur le terminal ne sera pas écrasante. Pas question d'inonder l'utilisateur de publicités au moindre clic ou au lancement des fonctions. L'idée n'est pas d'en faire un panneau publicitaire portable mais de combiner usages mobiles et stratégie publicitaire.
On attend beaucoup également de l' Android Market et de l'intérêt que les développeurs lui porteront. Le succès de l' App Store d' Apple n'y est pas étranger mais la nature ouverte d' Android doit jouer en sa faveur.
Un Sony Ericsson Xperia X2 sous Android ?
Enfin, Joel Espelien s'enthousiasme sur l'aspect multitâche de la plate-forme Android qui constituera un atout supplémentaire par rapport à d'autres plates-formes mobiles. On notera également que quatre des cinq plus grands fabricants de terminaux produiront des téléphones Android.
LG, Motorola et Samsung étant déjà membres de l' Open Handset Alliance ( OHA ), cela laisse penser que Sony Ericsson est également de la partie et cela confirmerait qu'un prochain terminal de sa gamme de smartphones Xperia pourrait tourner sous Android, comme nous le suggérions il y a peu. Nokia, plongé dans sa vision d'un Symbian open source, devrait pour le moment rester à l'écart.
Motorola pourrait constituer l'un des principaux pourvoyeurs en smartphones Android dans l'espoir de se trouver un relais de croissance après son téléphone Motorola RAZR, d'autant plus que son nouveau Co-CEO, Sanjay Jha, vient de Qualcomm, fondeur appartenant également à l' OHA.
Le choix de ce prix n'est pas anodin puisqu'il constitue une sorte de référence auprès des opérateurs américains depuis l'introduction de l' iPhone 3G et identifie les smartphones multimédia. Cela permettra à T-Mobile de se placer en concurrence frontale avec AT&T, distributeur de l' iPhone aux Etats-Unis.
Beaucoup d'espoirs fondés sur Android
Dans un entretien accordé à Forbes, Joel Espelien, vice-président de la stratégie chez Packetvideo, fournisseur de services multimédia, permet d'en savoir un peu plus sur les promesses d' Android. Celui-ci indique ainsi que le système d'exploitation se montre très réactif et capable de charger des pages Web encore plus rapidement que sur l' iPhone 3G grâce à l'utilisation des technologies les plus récentes combinée à un matériel puissant.
D'autre part, la présence de Google sur le terminal ne sera pas écrasante. Pas question d'inonder l'utilisateur de publicités au moindre clic ou au lancement des fonctions. L'idée n'est pas d'en faire un panneau publicitaire portable mais de combiner usages mobiles et stratégie publicitaire.
On attend beaucoup également de l' Android Market et de l'intérêt que les développeurs lui porteront. Le succès de l' App Store d' Apple n'y est pas étranger mais la nature ouverte d' Android doit jouer en sa faveur.
Un Sony Ericsson Xperia X2 sous Android ?
Enfin, Joel Espelien s'enthousiasme sur l'aspect multitâche de la plate-forme Android qui constituera un atout supplémentaire par rapport à d'autres plates-formes mobiles. On notera également que quatre des cinq plus grands fabricants de terminaux produiront des téléphones Android.
LG, Motorola et Samsung étant déjà membres de l' Open Handset Alliance ( OHA ), cela laisse penser que Sony Ericsson est également de la partie et cela confirmerait qu'un prochain terminal de sa gamme de smartphones Xperia pourrait tourner sous Android, comme nous le suggérions il y a peu. Nokia, plongé dans sa vision d'un Symbian open source, devrait pour le moment rester à l'écart.
Motorola pourrait constituer l'un des principaux pourvoyeurs en smartphones Android dans l'espoir de se trouver un relais de croissance après son téléphone Motorola RAZR, d'autant plus que son nouveau Co-CEO, Sanjay Jha, vient de Qualcomm, fondeur appartenant également à l' OHA.